Septembre.... terminé! A present Octobre était déjà arrivé a plus de la moitié de son mois, c'était le temps d'un Autommne! Nathan, regrettait l'été, et s'impatientait de voir l'hiver enneigé puis le primtemps qui refleurit! Mais l'autommne c'est la mort de la nature, c'est la fin de la vie! C'est the Fall comme on dit içi au states! Oui c'est ça c'est la chute! Nathan marchait vétu de son farc dans le beau parc du campus, il rentrait de son stage dans un cabinet d'avocats , ce stage était passionant il est en cas de poursuite d'entreprise : He has to sue an entreprise! C'était une femme, une veuve, dont le mari est mort d'un cancer du poumon et qui faisait un proces a Marlboro... ça allait gagner gros c'est sur avec toutes les pétitions... maintenant le jeune homme ,, jeune avocats qui avait des contacts dans les peoples allait essayer de mobiliser certains people pour appuyer le procès! Mais a part ce stage réjouissant, cet autommne c'était triste, ce serait dans quelques mois, la fin du premier semestre et il n'a toujours pas conquérit le coeur de la belle Summer.... il revait a la mer et imaginait le bonheur de voir miami en autommne c'est si beau ,c'est pas triste comme Harvard! Il marchait et avait des refléxions dignes de Baudelaire:
"Que les fins de journées d'automne sont pénétrantes! Ah! pénétrantes jusqu'à la douleur! car il est de certaines sensations délicieuses dont le vague n'exclut pas l'intensité; et il n'est pas de pointe plus acérée que celle de l'Infini!
Grand délice que celui de noyer son regard dans l'immensité du ciel et de la mer! Solitude, silence, incomparable chasteté de l'azur! une petite voile frissonnante à l'horizon, et qui par sa petitesse et son isolement imite mon irrémédiable existence, mélodie monotone de la houle, toutes ces choses pensent par moi, ou je pense par elles (car dans la grandeur de la rêverie, le moi se perd vite!); elles pensent, dis-je, mais musicalement et pittoresquement, sans arguties, sans syllogismes, sans séductions.
Toutefois, ces pensées, qu'elles sortent de moi ou s'élancent des choses, deviennent bientôt trop intenses. L'énergie dans la volupté crée un malaise et une souffrance positive. Mes nerfs trop tendus ne donnent plus que des vibrations criardes et douloureuses.
Et maintenant la profondeur du ciel me consterne; sa limpidité m'exaspère. L'insensibilité de la mer, l'immuabilité du spectacle, me révoltent … Ah! faut-il éternellement souffrir, ou fuir éternellement le beau? Nature, enchanteresse sans pitié, rivale toujours victorieuse, laisse-moi! Cesse de tenter mes désirs et mon orgueil! L'étude du beau est un duel où l'artiste crie de frayeur avant d'être vaincu."
Oui l'artiste est toujours en duel avec la nature, l'avocat lui est en duel avec l'homme! Il vit une chevelure blonde, au début il croyait que c'était Eden, il avança, non ce n'était pas elle, pas grave, ilallait la suivre.... N'était ce pas Jennifer, la fille qu'il avait vu avec Summer et Eden et qui l'avait ajouté sur Msn hier avec qui il avait légèrement parlé!
Il souria et tenta de l'interpeller:
Jennifer